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Sarah Finger - Quelles relations entre journalistes et animalistes ?
Par Sarah Finger, journaliste correspondante de Libération.
14/07/2020 — Mise au point :
Suite à quelques commentaires malveillants et anonymes, diffusés sur les réseaux sociaux contre cette journaliste suite à sa présence lors de notre université d’été en 2019, nous tenons à préciser que :
Suite à quelques commentaires malveillants et anonymes, diffusés sur les réseaux sociaux contre cette journaliste suite à sa présence lors de notre université d’été en 2019, nous tenons à préciser que :
- Plusieurs journalistes de médias nationaux avaient été invités à nos rencontres. Ces invitations n’impliquent aucune rémunération ni contre-partie de notre part.
- L’intervention de journalistes, quel que soit leur domaine de compétence, est fréquent dans le monde associatif. En l’espèce, cette intervention visait à nous éclairer sur les méthodes de travail de journalistes spécialisés dans les sujets ayant trait aux animaux. De telles interventions ne posent jamais problème sauf, visiblement, lorsqu’il est question de la cause animale.
Les liens se sont resserrés ces dernières années entre les associations de défense animale et les journalistes. La question de la maltraitance animale devient nettement plus présente qu’autrefois dans les grands médias. Mais les militants ne connaissent pas toujours les impératifs auxquels sont soumis les journalistes. De même, les associations œuvrant pour la défense animale doivent éviter certains écueils pour mieux se faire entendre. Cet atelier se propose de leur donner quelques conseils, nourris par une expérience au sein de la rédaction du quotidien Libération, afin de les aider à mieux communiquer.